Laisser courir

  • De : Philip Roth
  • Traduit par : Jean Rosenthal
  • Paru le : 14/10/1966
  • Éditeur : Gallimard
  • Collection(s) : Du monde entier
  • Nombre de pages : 712
  • Format : 20,5 x 14,1 x 3,6 cm
  • Poids : 670 g
  • Référence : 9782070255658
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Résumé

«Franchement, j'en ai assez des ennuis des autres... J'ai vraiment trop de mal à être à la hauteur de ce que certains exigent de moi.» Ainsi s'exprime Gabe Wallach, un charmant jeune homme, fils d'un riche dentiste new-yorkais, qui, au moyen d'efforts souvent maladroits, cherche à concilier sa vie facile et les sacrifices qu'il devrait faire pour aider son prochain.Autour de lui des alliés volontaires ou forcés participent à cette lutte frénétique : Martha Reganhart, une divorcée au grand cœur et à l'esprit très pratique ; Paul Jerz, un jeune et mélancolique collègue de Gabe à l'Université de Chicago ; Libby Herz, sa jeune épouse envoûtante et capricieuse. Attiré par chacun des trois personnages, Gabe passe par des péripéties comiques et tragiques pour venir au secours des autres sans trop donner de sa personne. À la fin seulement il apprend à «laisser courir» et à accepter la confusion de la vie.
«Franchement, j'en ai assez des ennuis des autres... J'ai vraiment trop de mal à être à la hauteur de ce que certains exigent de moi.» Ainsi s'exprime Gabe Wallach, un charmant jeune homme, fils d'un riche dentiste new-yorkais, qui, au moyen d'efforts souvent maladroits, cherche à concilier sa vie facile et les sacrifices qu'il devrait faire pour aider son prochain.Autour de lui des alliés volontaires ou forcés participent à cette lutte frénétique : Martha Reganhart, une divorcée au grand cœur et à l'esprit très pratique ; Paul Jerz, un jeune et mélancolique collègue de Gabe à l'Université de Chicago ; Libby Herz, sa jeune épouse envoûtante et capricieuse. Attiré par chacun des trois personnages, Gabe passe par des péripéties comiques et tragiques pour venir au secours des autres sans trop donner de sa personne. À la fin seulement il apprend à «laisser courir» et à accepter la confusion de la vie.