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L’objectivité de l’une s’opposant à la subjectivité de l’autre fait que la science et la religion paraissent incompatibles aux yeux de commun des mortels qui ne peut même pas trouver une passerelle pouvant relier les deux notions. Chaque notion semblant détenir la vérité sur la connaissance de l’univers et de la créature, il devient difficile de trouver des points communs entre des faits vérifiables et des dogmes. Mais alors, qui de la science et de la religion a-t-il raison ? L’interrogation de l’auteur vaut son pesant d’or. Elle présente donc un grand intérêt pour la recherche et l’établissement de la vérité. Soumettant la religion à la rigueur de la science, l’auteur nous démontre à l’aide de l’étude des textes sacrés combinés des sciences, entre autres de la géographie et de la minéralogie, que la compatibilité entre la science et la religion dans son contexte originel africain apporte des éclaircissements et des réponses concrètes, non seulement sur une datation quasi-équivalente de l’âge de l’univers, mais aussi sur une détermination du lieu d’apparition de l’homme sur la terre.Ainsi, la lecture de ce travail d’érudit nous permet d’avoir une fois pour toute la réponse sur la controverse scientifique : « créationniste » ou « évolutionniste », et nous apporte une nouvelle compréhension sur l’univers et la créature.